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28 janvier 2015 3 28 /01 /janvier /2015 20:28

   Le docteur Oberlin revient sur la situation des Palestiniens de Gaza en ce début d'année 2015 et nous explique de quelle manière ils sont plus que jamais isolés et encerclés par l'entité sioniste, et ses alliés que sont l'Autorité palestinienne de Mahmoud Abbas et l'Egypte d'al-Sissi, et par la propagande qui se nourrit des événements internationaux, en l'occurrence les attentats de Charlie-Hebdo. Tout est lié et il n'y a donc pas de hasard comme nous l'explique le docteur Oberlin : « [...] ces attentats monstrueux à Paris font le jeu d'Israël d'une manière telle qu'on peut même se poser la question de qui est derrière tous ces attentats. Je crois qu'il faut quand même se rappeler historiquement, les historiens nous le disent aujourd'hui, on le sait aujourd'hui, que se sont les milices israéliennes les milices juives plutôt qui, en 47, ont fait exploser les synagogues en Irak pour créer la panique et permettre à 150 000 Iraniens de renforcer la démographie juive en Israël. On sait que dans les années 50, ce sont les services israéliens avec M. Perez, qui était aux affaires, qui ont fait sauter les synagogues en Egypte. On sait que l'éthique n'est pas ce qui guide le gouvernement israélien. » 

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15 juillet 2014 2 15 /07 /juillet /2014 21:58

   Le professeur Oberlin, chirurgien orthopédiste et l'auteur des Chroniques de Gaza 2001-2011, prend à partie François Hollande pour son parti pris ouvertement sioniste, et ses propos abjects et injurieux envers les palestiniens. Il a déclaré que: la "France condamne fermement les aggressions" contre Israël. Il a même surenchéri en affirmant: "Il appartient au gouvernement israélien de prendre toutes les mesures pour protéger sa population face aux menaces". Quelle honte! 

 

 


 

 

 

CHRONIQUES DE GAZA 2001-2011 de Christophe OBERLIN aux éditions Demi Lune

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13 juillet 2014 7 13 /07 /juillet /2014 17:25

   Le 12 juillet 2014, 5ème jour consécutif des raids israéliens sur Gaza en ce mois de Ramadan, le bilan humain s'élève à 121 morts dont 81 civils parmi lesquels 25 enfants. Sur 3 morts 2 sont des civils, et 1 civil tué sur 3 est un enfant. Israel ne change pas de méthode: son objectif est de toujours plus radicaliser les Palestiniens.

 

   Dans l'émission Bourdin Direct du 10 juillet sur RMC, Bourdin profite des dernières minutes de l'émission pour parler du "conflit israélo-palestinien" qu'il évoque , comme tout bon journaleux, comme s'il s'agissait d'une guerre c'est-à-dire la confrontation de deux forces armées en présence. Ce qui n'est évidemment pas le cas. L'armée israélienne bombarde une population repartie sur une des zones les plus densément peuplées du monde, la bande de Gaza, de 41 km de long sur 6 à 12 km de large. 

   Bourdin anticipe son invité en se défendant d'être partial. Puis, lorsque Sofiane souligne le bilan humain dramatique des frappes israéliennes "50 morts 450 blessés depuis le début des combats", Bourdin lance sans hésiter: "... et puis les roquettes qui tombent côté israélien". En vérité, même Sofiane se trompe car il ne s'agit pas de combats mais uniquement de bombardements massifs (900 raids israéliens en 3 jours:link) et c'est unilatéral. 

    En effet, même l'article de Wikipédia "Roquette Qassam" (link) nous dit: "Depuis leur introduction en 2001, les roquettes Qassam ont causé la mort de 14 personnes selon le gouvernement israélien." Il n'est pas uniquement question de civils ici car comme nous l'explique Christophe Oberlin (CHRONIQUES DE GAZA 2001-2011 de Christophe OBERLIN aux éditions Demi Lune), les médias parlent toujours des attentats contre des civils israéliens mais n'évoquent jamais les attaques de la résistance palestinienne contre l'armée d'occupation, d'autant plus qu'en vérité ces derniers sont les plus nombreux. De plus, le paragraphe suivant de cet article de Wikipédia a pour titre "Réactions israéliennes". Réactions, représailles, réponses israéliennes constituent le vocabulaire de base des dirigeants sionistes, et des journaleux dans le traitement du "conflit israélo-palestinien". Et c'est encore cette raison qui est invoquée aujourd'hui pour justifier les massacres de civils palestiniens. Pourtant, ce sont les milices extrémistes sionistes telles que la Haganah qui ont rasé des villages entiers pour provoquer l'exode des Palestiniens en 1948 (la Naqba). Mais aujourd'hui encore ils continuent d'accuser les Palestiniens en leur rejetant la responsabilité de leurs malheurs comme s'ils en étaient eux-mêmes la cause et non les sionistes.

 

   Bourdin et son journalisme de la subjectivité: présenter les faits de manière isolée en occultant les liens entre les différents évènements qu'ils soient politiques historiques ou économiques, en parlant uniquement d'actualité c'est-à-dire de ce qui s'est produit la veille (plus besoin de réécrire l'histoire comme le pensait Orwell car dans nos démocraties molles il suffit d'abreuver les citoyens d'un flot continu d'actualités); et toujours, ou plutôt le plus souvent possible, présenter les deux opinions antagoniques l'une pro-palestinienne l'autre pro-israélienne afin de répondre à toutes accusations de partialité.

   De plus, comme le voulait au départ Bourdin et comme il en est de coutume dans les médias français, le pro-palestinien se retrouve entouré de sionistes qui lui coupent la parole, s'exclament puis lui somment de répondre à leurs questions. Il suffit de regarder n'importe quelle émission pour comprendre que les sionistes sont surreprésentés dans les médias. Mais à la différence du cas Bourdin, ce n'est pas de partialité qu'on est accusé lorsqu'on affirme ce genre de chose mais d'antisémitisme (il suffit de regarder l'émission poubelle de C. Hanouna Touche pas à mon poste pour s'en convaincre; malgré qu'il reprenne le slogan de SOS Racisme, je ne pense pas qu'il y ait de noirs de maghrébins ou d'asiatiques dans son équipe et les quelques goys présents lèvent bien le doigt en attendant sagement qu'on leur donne la parole, contrairement aux élus qui bénéficient de la prise de parole instantanée).

 

   C'est là qu'intervient Vincent. Bourdin l'introduit dans le débat: "Bon, alors on va mettre Vincent avec vous Sofiane, qui n'a pas le même avis mais je voudrais que nous arrivions à être constructifs." Mais à cet instant, Vincent ne dit pas ce que Bourdin et RMC attendaient de lui. Piégé, Bourdin rit jaune. Puis, lorsque Vincent commence à aller au bout des choses en évoquant les false flag attacks du Mossad, Bourdin craque et s'exclame: "On va pas ... écoutez non ! Vincent, je m'arrête là! Je coupe! Je ne veux pas qu'on refasse l'histoire."

   Il se justifie ensuite en insultant Vincent de menteur et de tricheur alors que son métier même est de mentir et tricher à longueur d'année. Le monde à l'envers: c'est celui qui dit la vérité qui est un menteur.

 

 

 

 

 

 

   A Montréal, rabbins et juifs antisionistes se joignent à la manifestation de soutien à Gaza:

 


 
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13 décembre 2012 4 13 /12 /décembre /2012 17:56

   Voici des extraits de la télevision russe RT qui traitent de ce que subit le Peuple Palestinien:

 

 


 

 

 

 


 
  Voici également l'analyse toujours brillante d'Alain Soral:

 

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5 juillet 2012 4 05 /07 /juillet /2012 23:40

   Les images parlent d'elles-mêmes ! les Palestiniens subissent un génocide depuis plus de 60 ans, pendant que dans nos démocraties malades, la Shoa est qualifiée, et encore acceptée comme telle par une partie de la population, de crime des crimes, sous prétexte qu'elle a été scientifique. En effet, les massacres des populations civiles palestiniennes, elles, ne le sont pas, tous comme les F-16 israéliens et leurs bombes au phosphore.

    Ames sensibles s'abstenir

 

 

1940 / 2000

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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1 juillet 2012 7 01 /07 /juillet /2012 13:33

   Pierre-Luc Séguillon (1940-2010) est un journaliste français de télévision, presse écrite et radio, parfois surnommé par ses initiales PLS, Après des débuts de reporter, il deviendra rédacteur en chef de l'hebdomadaire Témoignage chrétien. Par la suite, il travailla sur de nombreuses chaînes telles que TF1 avant de rejoindre LCI où, jusqu'en 2008, il sera éditorialiste politique et animateur de débat. Voici son éditorial du 4 juillet 2006 en pleine campagne de destruction criminelle du Liban où il a « osé » qualifier Israel d'état terroriste. Le lendemain, pris pour cible pour sa description objective des évènements qui secouaient une fois de plus le Proche-Orient, Pierre-Luc Séguillon écrivait un papier à ce sujet sur son blog: link.

 

 

 


 

 

   Quatre mois plus tard, Séguillon écrivait toujours sur son blog sur la situation tragique des Palestiniens subissant les attaques répétées de l'Etat terroriste d'Israel, en cette année 2006 où le Hamas gagna dans les urnes. (Voir son article « Moralement insupportable politiquement irresponsable » : link ).

 

   Ce qu'il faut comprendre c'est que les médias nous parlent du Proche-Orient de façon sélective, comme si qu'on avait à faire un championnat annuel avec ses matchs aller et ses matchs retour, et en début de saison on reprend tout à zéro. Comme nous le rapelle le travail de PLS en 2006, puis l'offensive génocidaire sur la bande de Gaza en janvier 2009 qui coûtera la vie à 1500 Palestiniens en l'espace de 3 semaines, dont 500 enfants, et plus récemment encore, chaques années, depuis la création de l'entité sioniste en 1948, les Palestiniens comptent leurs morts en centaines voir en milliers. Un génocide à long terme qui cache bien son nom. Les médias nous parlent de 20 morts palestiniens par-là, puis 50 civils blessés par-ci, en utilisant et en insistant bien sur le vocabulaire de la légitime défense (« ripostes israéliennes », « représailles en réponse à une attaque terroriste ») pour que personne ne pensent qu'Israel est l'agresseur. En effet, toujours répandre cette idée qui voudrait que l'entité sioniste n'attaque pas, mais ne fait que se défendre face aux agressions terroristes des Palestiniens. A l'inverse, bien-sûr, le vocabulaire utilisé pour parler des Palestiniens est celui du terrorisme et de la haine aveugle.  Et, comme nous l'explique le Docteur Oberlin (link: CHRONIQUES DE GAZA 2001-2011 de Christophe OBERLIN aux éditions Demi Lune ), les faits d'actualités, qui sont traîtés et minutieusement choisis par les médias pour illustrer leurs propos, montrent les Palestiniens comme des terroristes aveugles, au sens où ils n'attaqueraient que des civils, alors qu'en réalité, les attaques des milices palestiniennes se concentrent essentiellement contre les tsahalopes. Ce que les médias se gardent bien d'évoquer de peur de présenter les Palestiniens pour ce qu'ils sont, c'est-à-dire des résistants face à une armée d'occupation et d'oppression.

 

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19 juin 2012 2 19 /06 /juin /2012 04:18

    C dans l'air, programme quotidien de propagande avec ses habituels experts, a invité le géopoliticien Gérard Chaliand, qui n'en est pas à sa première quenelle dans cette même émission. Chaliand fait une petite mise au point sur l'affaire syrienne en nous rappelant les réels tenants et aboutissants, qui sont, bien-sûr, à l'opposé de ce qui nous est présenté depuis plusieurs mois. En effet, la cause humanitaire est utilisée pour rallier l'opinion publique à l'idée d'une intervention militaire en Syrie, et, plus largement, au projet de domination mondiale.

 

   Ces propagandistes et menteurs notoires invoquent la morale, à l'image du perfide Calvi:

« Je comprends très bien ce que vous me dites. Sauf que ce qui est insupportable, et je vais vous dire tant mieux, aux yeux, dans tous les sens du terme, de l'Occcident, c'est des enfants qu'on égorge. Et donc voilà. Et donc il est normal, un moment, qu'on se dise: est ce qu'il faut qu'on interviennent  pour sauver ces enfants. Et vous me répondez quoi? »

 

   C'est toujours la même recette qui est utilisée pour justifier les invasions militaires et les frappes chirurgicales, comme pour la Yougoslavie où l'on est même aller jusqu'à parler de bébés morts brûlés dans des fours.

 

   Par contre, ne nous inquiétons pas du sort des enfants palestiniens. Israel s'en occupe très bien.

 

 


 
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14 juin 2012 4 14 /06 /juin /2012 06:24

 


 
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14 juin 2012 4 14 /06 /juin /2012 06:12

   Montage vidéo à voir absolument. No comment!

 

 


 
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13 juin 2012 3 13 /06 /juin /2012 21:37

   Eli Cohen, né en 1924 à Alexandrie et mort en 1965 en Syrie, est une figure emblématique du mossad, reconnu pour son efficacité. Cet agent illégal (ou clandestin) israélien a opéré en Syrie où il a été démasqué alors même qu'il était le troisième prétendant au titre de Président de la Syrie. Cette taupe israélienne qui a infiltré la classe dirigeante syrienne est un héros en Israel. Sa contribution a été décisive pour l'issue de la Guerre des Six Jours.

 

    Son père, Saul Cohen, est né en Syrie mais s'installera en Egypte, là où naîtra son fils Eli qui étudira les mathématiques et les langues. Cela nous montre une fois de plus que les juifs du Moyen-Orient vivaient tranquillement jusqu'à l'arrivée des sionistes et avant la création de l'Etat d'Israel, à l'image de la Palestine peuplée par des Arabes musulmans et chrétiens, des Chrétiens grecs et arméniens et une population juive orthodoxe.

 

   En 1944, le jeune Eli rejoint le mouvement sioniste égyptien et s'investit dans des actions clandestines visant à ce que les juifs égyptiens gagnent la Palestine. En 1954, il est impliqué dans l' « opération Susannah » qui visait à destabiliser l'Egypte en fomentant des attentats qui seront attribués à des nationalistes arabes. Ces opérations de subversion et de tromperie (false flag attack) est la patte même des services israéliens et des sionistes en général. Comme pour la mission d'Eli Cohen en Syrie, les opérations du mossad sont doubles : destabiliser le régime de l'intérieur et en donner une mauvaise image à l'international. Et à vrai dire, c'est exatement ce qui se passe en ce moment même en Syrie. Ces attentats, orchestrés par un commando de treize juifs égyptiens, provoqueront le scandale de l'Affaire Lavon en Israel. Ce qu'il faut savoir c'est que la communauté juive d'Egypte, malgré la création de l'entité sioniste, est majoritairement restée en Egypte. Cette attaque sous faux drapeau commis par des juifs égyptiens a également eu pour but de favoriser l'immigration de ces populations vers l'Etat d'Israel nouvellement crée.

 

   Eli Cohen s'installera en Israel en 1957 après quelques mois d'emprisonnement en Egypte. Sa candidature au mossad est rejetée et il en sera très véxé. Mais trois ans plus tard son dossier de candidature sera finalement accepté et il est recruté en tant qu'agent illégal. En 1961, sous le nom de Kamel Amin Taabat, il infiltre la communauté arabe d'Argentine afin d'élaborer sa couverture en tant qu'homme d'affaire syrien. Un an plus tard, grâce à ses contacts syriens d'Argentine, il prétexte vouloir « revenir » en Syrie pour servir le parti Baas.

   Il devient vite un personnage qui compte dans la bonne société à Damas, fréquentant même Hafez el-Assad. Quand ce dernier devient Premier ministre, Cohen-Taabat est même pressenti pour un poste d'adjoint au ministre syrien de la Défense. Il se lie particulièrement avec deux syriens qui vont devenir des sources importantes d'information : George Sef, un haut fonctionnaire du ministère de l'information, et le Colonel Atoum, commandant des unités d'élites de l'armée syrienne. Et Cohen va se montrer très malin. Ces deux personnalités syriennnes ont des maîtresses et Cohen va jusqu'à leur proposer de leur prêter son appartement. Et ça va même plus loin, car Cohen organisera des soirées alcoolisées chez lui, en compagnie de jolies filles, où il invitera ses « amis » syriens. Ces derniers auront ainsi du mal à lui refuser quoi que ce soit , ce qui permet à Cohen d'envoyer des informations essentielles à son quartier général. « Cohen réussit notamment à visiter les fortifications syriennes des hauteurs du Golan. Il rapporte ainsi aux services israéliens la disposition des bunkers et des bases de tir syriens organisés en trois lignes. Certains ajoutent qu'il aurait ainsi suggéré aux officiers syriens que des arbres à eucalyptus soient plantés autour des bunkers syriens pouvant viser le territoire israélien, prétendant officiellement que ces arbres pourraient servir d'abris naturels aux postes avancés. La plantation de ces arbres fut décidée par les autorités syriennes, suivant ses conseils. Cela permit surtout aux soldats de Tsahal de pouvoir facilement localiser les bunkers syriens lors de leur bombardement pendant la Guerre des Six Jours. » (wikipedia)

 

   Cohen après 4 ans d'infiltration était à bout de force, et le mossad sachant cela, a prolongé sa mission car son objectif était qu'il se fasse prendre. En effet, l'objectif des services secrets israéliens était de provoquer des troubles en Syrie suite à cette arrestation. Ils ont donc exploité la source Cohen jusqu'au bout car la découverte de l'espion provoquera une panique. Effectivement, la soudaine révélation que les milieux du pouvoir peuvent être infiltrés par les services israéliens entraînera une vague de méfiance chronique où tout-le-monde suspectera  tout-le-monde. Le système syrien perdra alors en efficacité et en cohérence. Là est la réelle contribution de Cohen : jeter le trouble au sein même de la société syrienne et la destabiliser de l'intérieur avant la guerre de 1967.

 

   Aidé par les soviétiques, le contre-espionnage syrien démasquera Eli Cohen alias Kamel Amin Taabat. Il sera pendu sur la place publique à Damas le 18 mai 1965.

 

                                                                                 Eli_Cohen.jpg

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